Am 10 und 11 Juni, hat die EVP-ED Fraktion im Ausschuss der Regionen ihre 3 Sommer Universität für Lokale und Regionale Medien unter dem Titel « The Role of Local Media in a Multicultural Europe » abgehalten. Lire plus…
Immigration….
L’immigration est devenue le champs de bataille en Europe. Combien de noyés sur les côtes? En provenance d’Afrique avec des barques de pêcheurs, souvent pendant 5 jours en mer, sans eau potable, avec quelques jeans et t-shirt sur le corps? Ils ont laissé toute leur fortune aux trafiquants de main d’œuvre, aux vendeurs d’illusion qui leur font croire que une fois arrivés sur terre ferme, l’Europe les accueillera avec bienveillance, humanisme, et qu’ils pourront trouver du travail! Lire plus…
Visite du Choeur des Hommes de Luxembourg
Eingeladen von der EP Abgeordneten Erna Hennicot-Schoepges gastierte der « Letzebuerger Männerchouer » zu einem Konzert in der « église des Minimes » mit einem reichhaltigen Programm aus dem Liederschatz Europas. Der Chor nutzte die Gelegenheit an der Plenarsitzung des EP teilzunehmen und wurde nach dem Konzert von Botschafter Alphonse Berns in der Maison de Luxembourg zu einem Empfang eingeladen.
Le cycle infernal
Grève des producteurs de lait. Pas des vaches, elles ne l’ont pas, le droit de grève. La traite, c’est le soulagement des bêtes. En fait, leur lait est la nourriture de leur progéniture: des veaux. Déviation subtile, les veaux sont nourris à part du lait de leur mère-vache, de céréales assorties de produits sophistiqués pour les engraisser – mais pas trop – et en faire après un temps assez court des bêtes à abattage dont la viande est recherchée. Le lait de la vache, ressource commercialisée à l’extrême pour faire du fromage, des yaourts entre autre, est un objet de discorde. Depuis belle lurette les fermiers touchent le même prix pour le lait de la vache, alors que le prix du lait acheté au supermarché ne fait qu’augmenter. Pas étonnant que le monde de l’agriculture se mette en rage et déverse le lait de ses vaches dans le baquet de ses veaux ou, pire encore, ailleurs, sauf dans les réservoirs des laiteries qui en auraient besoin pour faire du beurre, fromage et yaourts. Déjà la pénurie est annoncée et parions que les prix monteront pour les consommateurs. A voir si les fermiers en toucheront une part. A vrai dire le cycle de la nature a été chambardé par l’industrie agroalimentaire. L’UE a connu le temps de trop-pleins de beurre, ensuite des quotas pour la production de lait, et encore l’interdiction de cultiver toutes les surfaces de terre disponibles. L’on se souvient encore des tomates détruites pour cause de prix dérisoires et des méfaits d’une politique agricole déviée à chaque nouvelle initiative de la Commission européenne par les grands terriens qui tantôt déclaraient des récoltes d’olives là où il n’y avait pas d’oliviers, ou trouvaient d’autres astuces pour toucher les subventions de la manne européenne. Lire plus…
SMS 112 pour les mal entendantes
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