Débat européen, débat tout court, car qui ne pourrait s’imaginer une belle vie sans travail? Travail rémunéré, à heures fixes, à contraintes multiples, bien-sûr. Pour un patron, une société. Être indépendant, travailler pour son propre compte c’est déjà autre chose. Existe-t-il aussi un droit à la paresse, au « dolce farniente », le travail est-il droit et obligation, ou faculté et choix délibéré? Friande de loisirs, de préférence organisés, on a l’air de considérer le travail comme le mal nécessaire pour gagner de l’argent, de moins en moins comme une valeur un épanouissement des talents de la personne. Et cette attitude se reflète au jour le jour dans les réglementations – car avoir un travail, synonyme de travail rémunéré, c’est être du « bon » coté, intégré dans le rythme de l’alternance travail – loisirs – vacances! Aurait-on cédé à la semaine de 65 heures si le travail avait été considéré comme un bien précieux à partager équitablement entre ceux qui en ont et ceux qui n’en ont pas? Cet argument a d’ailleurs été employé, il y a quarante ans, à l’égard des femmes qui perçaient sur le marché du travail au lieu d’élever leurs enfants à domicile! En fait ne s’agit-il pas plutôt de la dévalorisation du travail rémunéré, la mise en compte d’heures « supplémentaires » étant considérée comme une plus value pour le patron (moins de charges) et pour l’employé (moins d’impôts)? Lire plus…
Le Jeudi
Viens sous ma banque…..
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En attendant la France…….
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Immigration….
L’immigration est devenue le champs de bataille en Europe. Combien de noyés sur les côtes? En provenance d’Afrique avec des barques de pêcheurs, souvent pendant 5 jours en mer, sans eau potable, avec quelques jeans et t-shirt sur le corps? Ils ont laissé toute leur fortune aux trafiquants de main d’œuvre, aux vendeurs d’illusion qui leur font croire que une fois arrivés sur terre ferme, l’Europe les accueillera avec bienveillance, humanisme, et qu’ils pourront trouver du travail! Lire plus…