Pendant la dernière session de la commission ENVI, les officiels de la Commission et du centre de validation de méthodes de test alternatives sont venus présenter 5 tests alternatifs et expliquer dans quelle étape de la validation ces tests se trouvent actuellement.
Ces tests doivent contribuer de manière significative à réduire le nombre d’animaux utilisés, notamment dans le cadre de l’implémentation de la nouvelle législation sur les produits chimiques, REACH.
Ces tests doivent contribuer de manière significative à réduire le nombre d’animaux utilisés, notamment dans le cadre de l’implémentation de la nouvelle législation sur les produits chimiques, REACH.
Le reduced local lymphnode assay (rLLNA), test utilisé pour identifier des produits sensibilisants pour la peau, n’est pas encore assez au point pour être repris comme test dans les lignes directrices.
Le Test EPISKIN, un modèle in vitro de l’irritation de la peau humain a été pleinement validé et est très prometteur en ce qui concerne la réduction de l’utilisation d’animaux pour ces test. Il devrait permettre de réduire considérablement le nombre d’animaux utilisés.
Le modèle in vitro d’irritation de la peau humaine, EPIDERM, nécessite encore d’autres développements scientifiques avant de pouvoir être validé.
Il en est de même pour les test sur la cornée bovine et aviaire (BCOP et ICE).