Erna Hennicot-Schoepges

Sa Journée internationale me donne chaque fois le frisson… les hommes auraient-ils eu l’idée d’attirer l’attention sur eux en affichant des petits coeurs fleuris comme je l’ai vu dans les couloirs du PE ou en remplissant les journaux de leur problèmes?N’est-ce pas la fierté qui manque aux femmes, la conscience que ce sont elles qui tiennent en main l’avenir de l’humanité. Les différences culturelles sont si grandes qu’on ne pourra plus parler des Femmes au niveau universel, vu que leur situation a tellement évoluée en divergence selon les lieux géographiques et culturels. Comment parler de la même façon de la femme chef d’entreprise, riche et autonome en Esapagne, de la femme non éduquée et opprimée des fondamentalismes islamiques, de la femme qui peut se permettre beaucoup de choses et qui a le droit à l’égalité de traitement de son coté dans la vieille Europe?La diversité est bien inhérente au statut de la femme… . encore que, comme je l’ai vécu dernièrement lors d’un voyage dans un pays évolué de l’Europe des 25, que je ne nommerai pas!En cherchant le petit endroit pendant la pause du spectacle je n’ai trouvé que celui avec un bonhomme sur la porte, et un autre avec une chaise roulante… .
Pour les femmes et les handicapés l’endroit était identique. Non que cela aurait été un problème pour la chose dont s’agit, mais parfois les symboles en disent long.