– Mettre en évidence le pouvoir des citoyens et leur donner de la voix en matière de politique européenne.
– Mieux informer les citoyens en adaptant les informations aux différents pays membres.
– Promouvoir les processus de discussions interactives.
– Améliorer la coopération entre l’Union et les pays membres.
– Améliorer la coordination entre la Commission, le Parlement et les pays membres.
La commissaire Wallström a défini les Actions prévues dans ce contexte :
– Elaborer un accord interinstitutionnel.
– Stopper le “blaming” entre les institutions, càd on arrête de rejeter la faute sur l’autre.
– Définir clairement la coordination de la communication entre les différentes Institutions
– Matérialiser le “follow- up plan”
– Créer des partenariats avec les pays membres (il existe déjà des partenariats avec l’Allemagne et la Hongrie, d’autres sont en cours de négociation).
– Soutenir l’éducation scolaire et civique dans les états membres.
– Financer certains médias européens.
– Developper les “éspaces publics européens”, les lieux de rencontres pour les citoyens de l’Union, les ONG, les associations (existent déjà p.ex. à Madrid, Talinn et Dublin)
– Mettre en place une statégie “internet” avant la fin de l’année.
Elle encourage ensuite les institutions à développer les sites internet européens et créer des spères publiques.
Les députés ont de leur côté exprimé leur déception générale concernant la décision de la commission BUDGET qui à fortement réduit le financement du domaine de la communication certains ayant déploré le manque d’ambition de la Commission et son approche ‘dirigiste’.